Relevons MELUN

Chères Melunaises, Chers Melunais

Le 30/04/2025, nous déclarons constituer le groupe Relevons Melun dans le but de continuer à servir aux destinées de la ville et de ses habitants (en remplacement du groupe Réinventons Melun).

Conseillers municipaux depuis 2020 et membres actifs des différentes commissions traitant des politiques locales, nous avons à la fois été force de proposition et pris nos responsabilités dès qu’il s’agissait de prendre des positions s’opposant aux décisions prises par la majorité en place.

Sécurité, pression fiscale, urbanisme et aménagement du territoire, politique culturelle et sportive, propreté urbaine, fluidité des transports, … sont autant de domaines sur lesquels nous souhaitons continuer d’agir dans les années qui viennent afin d’enclencher une nouvelle dynamique collective.

Au sens large, nous faisons le constat que les différentes politiques municipales menées jusque-ici n’ont pas su libérer le potentiel de notre ville. En tant qu’habitants de Melun, vivant notre ville, nous sommes imprégnés de ces enjeux et notre connaissance des dossiers nous permet d’avoir dès maintenant une vision claire sur les politiques locales à mener.

Melunaises, Melunais, nous vous invitons à rejoindre notre groupe et à enrichir nos convictions de votre vision.

 Catherine AsdrubalPhilippe MartinMichael Guion 

Relevons Melun

  • Sécurité, le Maire Kadir Mebarek admet ses 15 ans de retard !
    Le Maire de Melun admet 15 ans de retard par rapport à Meaux en matière de sécurité, fruit de ses propres choix financiers passés. Pendant que l’insécurité explose – rixes, agressions, vitrines fracassées – la majorité préfère les dépenses superflues aux besoins essentiels. Les caméras ne remplacent pas les effectifs : sans policiers sur le terrain, la situation ne peut que se dégrader. Nous demandons depuis 5 ans un renforcement massif des moyens humains. La sécurité est une priorité absolue. Assez de communication, place à l’action pour protéger les Melunaises et les Melunais.
  • Cinéma : Encore de l’argent jeté par-dessus les toits !
    Le groupe Relevons Melun dénonce le coût du futur cinéma municipal, passé de 5,5 à 12,6 millions d’euros. Il critique des choix architecturaux jugés inutiles – rooftop, baie vitrée – qui alourdissent la facture sans répondre aux priorités locales. Cet argent aurait dû être investi dans des besoins essentiels comme la rénovation des écoles ou la sécurité. Le projet illustre une gestion budgétaire déconnectée des réalités des Melunais, privilégiant l’image à l’intérêt général dans un contexte de finances locales très tendues.
  • Melun : un désert au cœur d’une préfecture
    Relevons Melun dénonce la désertification médicale à Melun : délais excessifs pour consulter, manque de spécialistes, et saturation de l’hôpital. Il pointe l’inaction municipale et propose la création d’une maison de santé pluridisciplinaire pour améliorer l’accès aux soins et redynamiser le centre-ville.
  • Crèche privée en dsp : Nos enfants en danger ?
    Le Conseil Municipal du 29 janvier 2025 a abordé la création d’une crèche à l’hôpital en 2027, confiée à un opérateur privé pour des raisons budgétaires. Si l’objectif est d’offrir plus de places, la privatisation soulève de nombreux dangers : la recherche du profit pourrait primer sur le bien-être des enfants, menant à des conditions de garde moins qualitatives, des structures surchargées et des conditions de travail précaires. Cette dérive pourrait affecter l’épanouissement des tout-petits, transformant la garde d’enfants en une affaire commerciale. Il est crucial que la gestion des crèches reste publique et garante de la qualité pour les familles.
  • Stationnement à Melun : 450 places en moins et une sulfateuse à PV en approche
    Le cabinet d’études nous garantit, rubis sur l’ongle, malgré une compensation du nombre de places très imparfaite (même avec 3 niveaux sous Lebarbier -on en reparlera plus bas- il restera encore 250 places supprimées non compensées), que son plan va marcher à merveille et la rotation en hypercentre sera rétablie à toute période de l’année et toute heure de la journée……Si, et seulement si le nombre de contractuels (ASVP) est doublé (actuellement 10) et qu’un véhicule LAPI (aussi appelé « sulfateuse à PV ») est utilisé !
  • Le macronisme local et son autre façon de faire de la politique …
    Christopher Domba est donc l’homme qui « a voulu démissionner » et Monsieur le Maire celui qui lui « a demandé de démissionner » avec un signalement au procureur comme cadeau de départ, le tout pour des soupçons de corruption que l’élu conteste